L'été dernier, j'ai inscris nos deux garçons de 7 et 9 ans à tous les stages sportifs disponibles : judo, foot, sports innovants, baseball, basket... Pourquoi ?!!! Parce que mes deux garçons sont des piles électriques ambulantes !!! Deux mois de vacances, c'est long mais alors deux mois enfermés dans un appartement, les yeux rivés sur un écran, manette de jeu en main, autant le dire : ce n'était absolument pas envisageable. Donc, ces stages les ont bien occupés. Ils leur ont plu, ils s'y sont dépensés, y ont rencontré de nouveaux amis. Et puis faire du sport toute la journée, on ne pourra pas trouver plus sain comme activité !

À la fin de l'été, deux événements majeurs : la rentrée, et puis surtout, notre déménagement. Un petit pavillon en banlieue, avec, enfin, un jardin !!!! 

Une fois les cartons posés, triés, vidés et rangés, nous avons pu nous consacrer à l'extérieur. Nous rêvions d'un bout de pelouse pour y mettre une table, un barbecue. Ce furent nos premiers investissements pour le jardin.

Le 15 septembre, les garçons avaient moins de 2 semaines d'école dans les jambes, que déjà je les entendais râler : « les vacances c'était mieux », « à l'école on ne joue pas assez », « en vacances au moins on faisait beaucoup de sport »... Bref mes deux chers enfants avaient besoin de se défouler, rentraient de leur journée d'école avec un capital énergie quasiment pas entamé. « Va jouer dans le jardin ! » leur avons-nous dit mon mari et moi. « C'est nul, y a rien à faire dans le jardin, on peut même pas jouer au foot sinon le ballon va chez les voisins !!! »... Certes, nous avions un jardin, mais dont la taille ne permettait pas non plus d'y aménager un terrain de foot. 

Le 30 septembre, il fallait trouver une solution. Les garçons, qui à cause de nos activités professionnelles, ne pouvaient fréquenter les clubs sportifs qu'une seule fois par semaine, sont rapidement devenus exécrables. Pas assez de fatigue physique, beaucoup de pression de notre part quant aux résultats à l'école, déposés tôt à la garderie, récupérés tard... Mon mari et moi en avons parlé à nos deux fils. L'aîné a tout de suite trouvé une idée. La solution, pour se dépenser à la maison, vider le « trop-plein d'énergie », se défouler ? Un trampoline !! Il en avait vu un soi-disant « super » lors d'un de ses fameux stages sportifs. Un sans ressorts, sur lequel on ne pouvait pas se blesser. À 9 ans, il avait déjà les arguments pour convaincre ses parents. Il ne nous a pas fallu longtemps pour retrouver sur internet ces fameux trampolines sans ressorts, car Springfree est la seule marque à proposer cette conception !

En fait, nous n'avons pas hésité du tout. Nous savions que l'investissement serait vite rentabilisé : nos garçons seraient mieux dans leurs baskets, et nous aussi par la même occasion !! La sécurité au cœur de la politique de Springfree, la garantie 10 ans... Qu'attendre de plus ? Notre seule difficulté fut choisir la bonne taille de trampoline. Nous pensions prendre le Grand carré S113, et puis, les garçons ont réclamé le S155. 4 mètres de côté, pas sûr que ça passe, car bien sûr, il faut absolument une distance de sécurité entre le filet et tout obstacle autour. Toutes mesures faites, on a craqué pour le très grand carré ! Sans aucun regret. Les garçons sautent dessus tous les jours après l'école. Ils s'endorment vite le soir. Le trampoline est un vrai défouloir. Quelquefois ils sautent même le matin avant d'aller à l'école. Ils disent à qui veut l'entendre que ça les met « en forme » pour apprendre...